LA SANTE DE LA FEMME

Date de publication 18 Déc, 2020

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De l’adolescence jusqu’à la maternité, la femme traverse plusieurs étapes dans sa vie. Mais aussi, les phases d’allaitement, des menstruations, de la ménopause…
C’est la raison pour laquelle, certains nutriments et minéraux sont nécessaires en quantité plus élevée chez la femme.
Tout cela peut également être encore renforcé selon les périodes et étapes de vie qu’elle traverse.

Par conséquent, la prise en charge nutritionelle va bien au-delà de l’aspect physique ou esthétique. Car la nutrition à un impact direct sur les dysfonctionnements hormonaux , la fertilité, le syndrome Ovarien Polykystique ou encore le risque de cancer.

Manger sainement pour concevoir


Les chercheurs commencent à démontrer le réel impact de l’alimentation sur la capacité à procréer. Les bons réflexes pour mettre encore plus de chances de votre côté si vous souhaitez être enceinte doivent s’apprendre.
Pour que votre désir de maternité se concrétise, adoptez la bonne hygiène de vie. Et cela passe aussi par l’assiette avec une répartition adaptée de nutriments, vitamines et minéraux !

L’âge de la ménopause arrive et vous craignez une prise de poids ?

Plus on vieillit, plus notre métabolisme de base (dépense energétique au repos) diminue. Et cela s’accélère à l’arrivée de la ménopause. En effet, la ménopause modifie en profondeur la production d’hormones. Parmi les nombreuses conséquences de ces modifications, on peut citer une tendance à la prise de poids, davantage de risque d’ostéoporose, mais aussi une répartition différente des cellules graisseuses. Elles se localisent alors de manière privilégiée au niveau de l’abdomen, accroissant les risques cardiovasculaires chez la femme en surpoids.

Adopter un comportement alimentaire adapté limite les effets négatifs de la ménopause et vous aideront à mieux passer le cap.

Le Syndrome Ovarien Polykystique (SOPK)

Le SOPK est une affection hormonale fréquente qui touche 6 à 10 % des femmes en âge de procréation. Pour une femme souffrant d’un SOPK et surtout si elle est en surpoids, une amélioration de l’hygiène de vie est indispensable pour favoriser le bien-être. Une perte d’environ 10 % du poids initial est alors recommandée.

À plus long terme, cette perte de poids a un retentissement positif sur le risque de complications métaboliques associées au SOPK, et notamment une diminution du risque de développer un diabète de type 2.

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